Parole de propriétaire R.S. : Guillaume, une histoire de famille

Il y a des passions qui se transmettent à travers les générations. C’est ainsi que l’intérêt que son père vouait aux voitures Renault Sport a mené Guillaume Rollin vers sa première R.S., à l’âge de 18 ans. Aujourd’hui âgé de 40 ans, Guillaume a déjà été propriétaire de 45 voitures, dont de nombreuses R.S.

La liste est impressionnante : une Mégane R.S. phase 1, une R26, une Mégane 3 R.S. Redbull, et actuellement il conduit une Mégane 3 R.S. Trophy R. “Mais j’ai aussi eu une Clio 1 R.S., la Clio 2 R.S., la Clio 3 R.S., la Clio V6… J’ai eu quasiment tous les modèles qui existent chez Renault Sport !” explique Guillaume. “Quand j’ai eu l’âge de trouver une voiture sportive abordable, il n’y avait quasiment que Renault Sport qui existait.”

Alors il s’est lancé, et en plus de partager sa passion avec son père, Guillaume en a fait une histoire de famille au sens large : “J’ai rencontré la famille R.S. à travers le forum Mégane R.S., et j’ai été le trésorier du club Mégane R.S. dès sa création, au tout début.”

Même s’il a cédé sa place au sein de la direction du club, Guillaume est encore un membre très actif, et participe aux sorties du club, comme à la Clio Cup Le Castellet en octobre dernier. “Je n’ai pas roulé parce que je n’avais pas encore ma Trophy R et que la R.S. 18 était en rodage,” dit-il. “Mais j’ai fait la parade ! On a fait deux tours sur le circuit le samedi, et deux tours le dimanche, avec tout le monde… Il y avait une atmosphère géniale.” C’est cette ambiance qui fait que Guillaume est toujours attaché à Renault Sport : “Il y a des gens que je connais maintenant depuis dix ans. On a tous évolué ensemble.” Une vraie famille.

 

Les liens ne sont pas prêts de se briser. “Je n’ai pas du tout l’intention de vendre la Mégane 3 R.S. Trophy R, ni la R.S. 18, vu que c’est la dernière Clio 4 R.S. et peut-être la dernière Clio R.S., on ne sait pas. J’attends aussi que la Mégane 4 R.S. Trophy R sorte pour me porter acquéreur, donc non, je ne vais pas changer de marque tout de suite.”

Guillaume considère même de se racheter un modèle qui lui tenait vraiment à coeur : la R26. “Je regrette de l’avoir vendue,” dit-il. “A chaque fois que je montais dedans, j’avais le sourire. Ce n’est pas toujours rationnel l’amour qu’on porte pour une marque.” C’est une histoire de coeur, qui dure depuis longtemps.

Et l’histoire continue à la maison. La femme de Guillaume est aussi passionnée que lui, et ils font les sorties ensemble. Quant à sa fille, âgée de 7 ans, elle reconnait déjà les voitures et aime les accélérations. “On transmet ses maladies à ses enfants, je pense ! Elle fera ce qu’elle veut, mais il y a un terrain… L’avenir nous le dira !”

 

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